vendredi 14 novembre 2003
Voir spécificité 18 et les paroles de Thaʿlabah Ibn Abî Mâlik.
Al-Hâkim et Al-Bayhaqî rapportent selon Abû Saʿîd Al-Khudrî que le Prophète - paix et bénédiction d’Allah sur lui - a dit : "A celui qui lit la sourate la Caverne le jour du vendredi Dieu illuminera sa semaine jusqu’au vendredi suivant."
Selon Saʿîd Ibn Mansûr, Abû Saʿîd Al-Khudrî a dit, sans toutefois faire remonter cette parole au Prophète - paix et bénédiction d’Allah sur lui : "Dieu illuminera la distance qui le sépare de l’Antique Maison [1]."
On rapporte selon Khâlid Ibn Maʿdân que : "Quiconque lit la sourate la Caverne avant que l’imam ne sorte pour prononcer le sermon, verra ses péchés mineurs pardonnés pendant une semaine jusqu’au vendredi suivant. En outre, la lumière de cette sourate atteindra jusques l’Antique Maison."
Ibn Mardawayh rapporte d’après Ibn ʿUmar que le Prophète - paix et bénédiction d’Allah sur lui - a dit : "Celui qui lit la sourate la Caverne le jour du vendredi aura une lumière qui rayonnera depuis ses pieds jusqu’au ciel le plus élevé, qui l’éclairera le jour de la résurrection. De plus lui seront pardonnés les péchés mineurs qu’il aura commis entre les deux vendredis."
Ad-Dihyâ rapporte dans les Mukhtârât d’après ʿAlî que le Prophète - paix et bénédiction d’Allah sur lui - a dit : "Celui qui lit la sourate la Caverne le jour du vendredi sera protégé durant huit jours. Si l’Antéchrist fait son apparition, il en sera protégé."
Ad-Dârimî rapporte dans son Musnad que Abû Saʿ îd Al-Khudrî a dit : "Celui qui lit la sourate la Caverne la nuit du jeudi au vendredi sera illuminé d’une lumière qui éclairera la distance qui le sépare de l’Antique Maison."
Abû ʿUbayd et Ibn Ad-Darrîs rapportent dans Fadâ’il Al-Qur’ân, d’après Asmâ’ Bint Abî Bakr, que : "Quiconque accomplit la prière du vendredi, puis lit sept fois Qul huwallâhu ahad [2], les Muʿawwidhatayn [3] et Al-Hamd [4], sera protégé toute la semaine jusqu’au vendredi suivant."
Saʿîd Ibn Mansûr rapporte d’après Makhûl que : "Quiconque lit sept fois la Fâtihah du Livre, les Muʿawwidhatayn et Qul huwallâhu ahad le jour du vendredi, directement après la prière et avant de prononcer un seul mot, les péchés mineurs qu’il aura commis pendant la semaine jusqu’au vendredi suivant lui seront pardonnés et il sera protégé."
Humayd Ibn Zanjawayh rapporte dans Fadâ’il Al-Aʿmâl, d’après Ibn Shihâb, que : "Quiconque lit sept fois Qul huwallâhu ahad et les Muʿawwidhatayn après la prière du vendredi - une fois que l’imam aura prononcé les salutations achevant la prière et avant que l’orant ne parle avec autrui - il sera protégé, ainsi que sa fortune et ses enfants, entre ce vendredi et le vendredi suivant."
Al-Bayhaqî rapporte dans ses Sunan d’après Jâbir Ibn Samurah : « Le Prophète - paix et bénédictions sur lui - récitait pendant la prière du coucher du soleil, la nuit du vendredi [5], les sourates : Qul yâ ayyuhal-kâfirûn et Qul huwallâhu ahad ; il récitait pendant la prière de la nuit, la nuit du vendredi, les sourates Al-Jumuʿah et Al-Munâfiqûn. »
[1] Il s’agit de la Kaʿbah.
[2] C’est-à-dire la sourate 112, Al-Ikhlâs.
[3] Il s’agit des deux dernières sourates du Coran - les sourates protectrices - sourates 113 et 114.
[4] Il s’agit de la sourate 1, Al-Fâtihah.
[5] Dans le calendrier hégirien, la nuit précède le jour ; la nuit de vendredi désigne ainsi la nuit de jeudi à vendredi. NdT
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