jeudi 17 juin 2004
On entend beaucoup de choses à propos du rapport entre les vivants et les morts, notamment que ces derniers ressentent la présence des premiers, prennent connaissance de ce qui leur arrive et sur le fait que la rétribution peut leur parvenir. Nous souhaiterions des éclaircissements à ce propos à la lumière du Coran et de la Sunnah.
De nombreuses questions ont donné lieu à beaucoup de débats à propos du rapport entre les vivants et les morts. Nous en citerons les plus importantes ci-dessous :
Al-Bazzâr rapporte selon une chaîne de transmission dont les maillons sont des narrateurs du Sahîh, d’après Ibn Masʿûd — qu’Allâh l’agrée —, un hadith attribué au Prophète — paix et bénédictions sur lui — selon lequel : « Ma vie est un bien pour vous, vous y faites des choses nouvelles et il vous arrive des choses nouvelles, puis lorsque je décèderai, mon décès sera un bien pour vous car vos œuvres me seront exposées, si j’y vois quelque bien, je louerai Allâh, et si j’y vois quelque mal, j’implorerai le pardon pour vous. »
Ahmad, le Sage At-Tirmidhî, dans Nawâdir Al-Usûl, et Ibn Mandah rapportent le hadîth suivant : « Vos œuvres sont exposées à vos proches et à vos familles décédés. S’ils y voient quelque bien, ils s’en réjouissent, et s’il en est autrement, ils disent : "Allâh, ne les fais pas mourir avant de les avoir guidés comme tu nous as guidés." » At-Tayâlisî rapporte un hadîth similaire dans son Musnad. Le Sage At-Tirmidhî rapporte également dans ses Nawâdir que : « Les œuvres sont exposées devant Allâh les lundis et les jeudis, et exposées devant les Prophètes et les pieux les vendredis. Ils se réjouissent alors des bonnes œuvres. » Al-Bayhaqî rapporte dans Shuʿab Al-Îmân le hadîth suivant : « Craignez Allâh vis-à-vis de vos frères décédés. Vos œuvres leur sont en effet exposées. » De même, Ibn Al-Qayyim rapporte dans Ar-Rûh un hadîth démontrant que les morts ont connaissance de ce qui advient aux vivants.
Tout ceci ne permet pas d’établir une croyance. Ainsi celui qui ne veut pas y souscrire ne commet pas d’acte d’infidélité. De même, il n’y a aucune preuve solide empêchant de souscrire à ces narrations.
Il est aisé de souscrire au fait que les Prophètes et les martyrs puissent entendre ceux qui les saluent dans leurs tombes car la vie est un fait établi à leur endroit, sans compter que cette capacité est admissible pour d’autres gens en dehors de ceux-là, preuve à l’appui, ces derniers fussent-ils croyants ou infidèles.
Il est rapporté dans le Sahîh que lorsque le défunt est enterré et que ses proches s’en vont, tandis qu’il entend le claquement de leurs sandales, deux anges viennent l’interroger.
Il est également rapporté dans le Sahîh que le Prophète — paix et bénédictions sur lui — a apostrophé les infidèles morts à Badr après qu’ils ont été jetés dans la fosse commune, leur disant : "Avez-vous trouvé la promesse de votre Seigneur véridique ?" ʿUmar — qu’Allâh l’agrée — demanda : "Pourquoi t’adresses-tu à des gens qui sont morts ?" Le Prophète lui répondit : "Par Celui Qui m’envoya avec la Vérité, vous ne m’entendez pas mieux qu’eux, mais ils ne peuvent pas répondre."
On rapporte aussi dans le Sahîh que « le mort souffre lorsque ses proches le pleurent ». An-Nawawî dit dans son commentaire du Sahîh de Muslim : "Cela veut dire qu’il souffre d’entendre les pleurs de ses proches et qu’il est triste pour eux". C’est également l’opinion d’At-Tabarî. Le Juge ʿIyâd dit : "Cet avis est le plus juste. On avance en sa faveur le fait que le Prophète ait blâmé une femme pleurant son fils, lui disant : « Lorsque l’un de vous pleure, cela attriste son compagnon décédé. Alors, Serviteurs d’Allâh, ne faites pas souffrir vos frères. »"
Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — prescrivit à sa Communauté de saluer les habitants des tombes en disant : "Que la paix soit sur vous, demeure de gens croyants". Il s’agit là d’une parole qui ne peut s’adresser qu’à des gens doués d’une ouïe et d’un entendement, sinon cela reviendrait à s’adresser au néant ou aux choses inertes ; les Prédécesseurs sont unanimes à ce sujet.
Un hadîth stipule que « Lorsqu’un individu passe près de la tombe d’un individu qu’il connaît et le salue, le défunt lui renvoie la salutation et le reconnaît. Et lorsqu’il passe près de la tombe d’un individu qu’il ne connaît pas et le salue, celui-ci lui renvoie la salutation. » Nous verrons plus en détails le jugement qui en découle dans la question suivante. Sur la base de ce qui précède et des nombreux récits rapportés par Ibn Al-Qayyim dans Ar-Rûh, on peut conclure qu’il est possible que les morts puissent entendre les vivants. Cependant, notre Dame ʿÂ’ishah — qu’Allâh l’agrée — nia que les morts de la Fosse aient pu entendre le Prophète - paix et bénédictions sur lui. Certains pensèrent que cette négation s’étend à tous les morts parmi les infidèles et les autres. On répond à cela que la négation de ʿÂ’ishâh — qu’Allâh l’agrée — reprend la négation figurant dans la parole du Très-Haut : « En vérité, tu ne fais pas entendre les morts » [1] et Sa parole : « tu ne peux faire entendre ceux qui sont dans les tombeaux » [2] Le verbe "entendre" signifie dans ces versets l’acceptation et la foi, dans la mesure où Allâh y assimile les mécréants vivants à des morts, non pas au plan de l’absence de perception et des sens, mais plutôt parce qu’ils n’acceptent pas la guidance et la foi. Car lorsque le mourant en est aux stades avancés de l’agonie, la foi ne lui servirait point s’il venait à avoir la foi. Ainsi l’ouïe affirmée dans les hadîths authentiques désigne le sens (la faculté d’entendre), alors que celle niée dans les deux versets correspond à l’acceptation. C’est pourquoi après la Parole du Très-Haut « En vérité, tu ne fais pas entendre les morts », on peut lire « Tu ne fais entendre que ceux qui croient en Nos versets » [3] établissant ainsi, pour les croyants, l’ouïe au sens de l’acceptation.
Un autre argument qui confirme que ʿÂ’ishah niait l’ouïe au sens de l’acceptation et non pas la faculté sensorielle réside dans le fait qu’elle a elle-même transmis le hadîth où le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « Chaque fois qu’un homme rend visite à la tombe de son frère et s’assoit auprès de lui, ce dernier l’apprécie et lui retourne les salutations jusqu’à ce qu’il s’en aille. » On dit également qu’elle nia le fait que les infidèles aient entendu le Prophète — paix et bénédictions sur lui — tout en affirmant qu’ils ont été informés de ce qu’il a dit. Elle dit à ce sujet : "Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — dit : « Ils savent maintenant que ce que j’ai dit est vrai. »" Or, loin de s’y opposer, la connaissance des propos du Prophète impliquerait justement qu’ils l’aient entendu. On peut cependant répondre que cette connaissance de ce qu’a dit le Messager ne nécessite pas qu’ils l’aient entendu dans la mesure où ils eurent cette connaissance en voyant le châtiment qui les attendait.
Par ailleurs, la faculté de l’ouïe ne peut être récusée par les arguments des hanafites lorsqu’ils disent que :
Un homme qui jure de ne point parler à un autre, puis lui parle après sa mort, ne rompt pas son serment. Toutefois, cela ne constitue pas un argument car les serments sont appréciés conformément à la coutume et l’opinion susmentionnée n’implique pas la négation de l’ouïe. De même, ils estiment que celui qui jure de ne point manger de viande (lahm) puis mange du poisson ne rompt pas son serment, alors qu’Allâh qualifie le poisson de "chair fraîche" (lahman tariyyan) dans le verset : « Et c’est Lui qui a assujetti la mer afin que vous en mangiez une chair fraîche » [4], et ce, conformément à la coutume [5].
On pourrait objecter que la faculté qu’ont les morts à entendre les vivants est restreinte au Prophète — paix et bénédictions sur lui — mais cela est réfuté par l’absence de tout texte prouvant cette spécificité.
Ibn Taymiyah dit dans Al-Intisâr Lil-Imâm Ahmad : "ʿÂ’ishah est excusée pour sa négation du fait que les gens de la Fosse aient pu entendre le Prophète, parce que le texte l’établissant ne lui est pas parvenu, mais cette excuse n’est plus valable pour autrui car cette question fait désormais partie des choses nécessairement connues de la religion. [6]
Ibn Taymiyah dit dans ses Fatâwâ : "À propos de la question de savoir si les morts se rendent compte lorsque les vivants leur rendent visite et s’ils savent qu’un membre de leur famille ou un autre est décédé, la réponse est oui. Diverses narrations rapportent qu’ils se rencontrent et s’interrogent mutuellement et que les œuvres des vivants sont exposées aux morts. Ainsi Ibn Al-Mubârak rapporte-t-il d’après Abû Ayyûb Al-Ansârî que : « Lorsque l’âme du croyant est extirpée, elle est accueillie par les gens de la miséricorde parmi les Serviteurs d’Allâh comme l’on accueillerait un porteur de bonnes nouvelles. Ils vont vers lui et l’interrogent puis se disent mutuellement : "Attendez que votre frère se repose car il vient de traverser une épreuve difficile". Puis, ils vont vers lui et l’interrogent “Qu’a fait untel ? Qu’est devenue untelle ? S’est-elle mariée ?” » etc."
Quant au fait que le mort se rende compte lorsqu’un vivant lui rend visite, on trouve en effet dans le hadîth d’Ibn ʿAbbâs : « Le Messager — paix et bénédictions sur lui — dit : "Chaque fois qu’un homme rend visite à la tombe de son frère croyant qu’il connaissait et lui envoie des salutations, le défunt le reconnaît et lui retourne les salutations". » Ibn ʿAbd Al-Barr dit : "Il est établi que cette narration remonte au Prophète et elle a été jugée authentique par ʿAbd Al-Haqq, l’auteur des Ahkâm".
Ibn Taymiyah dit aussi dans un autre emplacement de ses Fatâwâ : "Le défunt entend le bruit des sandales de ceux qui ont accompagné sa dépouille lorsqu’ils s’en vont, comme cela est établi dans les deux Sahîh". Puis après avoir cité plusieurs hadîths, il conclut : "Ces textes démontrent que le mort entend les vivants de manière générale. Il n’est cependant pas nécessaire que cette faculté soit permanente". Puis il mentionna le fait que l’âme est restituée dans son corps à ce moment, et qu’elle y est restituée à d’autres moments aussi, tout comme il fut mentionné dans diverses narrations que les âmes se trouvent dans les vestibules des tombeaux.
D’autres narrations stipulent que l’âme du défunt se tient dans la main de l’ange et voit comment sa dépouille est lavée, enveloppée dans son linceul, et emmenée. On lui dit pendant qu’il est sur son lit : “Écoute l’éloge que les gens font à ton sujet.” Ahmad et Al-Hâkim rapportent que ʿÂ’ishah — qu’Allâh l’agrée — dit : "Quand je rentrais chez moi, j’avais l’habitude de me mettre à l’aise et de me dévoiler, me disant qu’il n’y avait que mon père et mon mari [7]. Mais lorsque ʿUmar fut enterré [8], je n’ôtai plus rien de mes habits par pudeur envers ʿUmar". On rapporte dans le Sahîh de Muslim que ʿAmr Ibn Al-ʿÂs dit pendant sa maladie ultime : "Lorsque vous m’enterrerez, ensevelissez-moi rapidement et restez auprès de ma tombe le temps qu’il faut pour égorger une chamelle et distribuer sa chair, afin que je jouisse de votre compagnie et que je prépare ce que je vais répondre aux messagers de mon Seigneur".
On rapporte dans le Sahîh de Muslim : « Si l’un de vous s’occupe de la dépouille de son frère, qu’il le pare d’un linceul convenable. » On explique cette recommandation par le fait que les morts se rendent visite mutuellement et tirent une fierté de leurs linceuls comme cela est indiqué dans d’autres hadîths comme celui rapporté par At-Tirmidhî, Ibn Mâjah et Al-Bayhaqî : « Si l’un de vous s’occupe de la dépouille de son frère, qu’il le pare d’un linceul convenable car les morts se rendent visite mutuellement dans leurs tombes. » Ibn Taymiyah dit dans ses Fatâwâ qu’ils se rendent visite, que les villes où ils sont enterrés soient proches ou éloignées dans le monde d’ici-bas.
Les juristes recommandent de soigner les linceuls pour cette raison. As-Suyûtî consacra un ouvrage à ce sujet intitulé Sharh As-Sudûr tandis qu’Ibn Al-Qayyim dit dans Ar-Rûh : "Le vivant voit le mort en songe et lui demande des nouvelles. Alors le mort informe le vivant de choses que ce dernier ignore et qui coïncident avec une réalité passée ou future."
As-Suyûtî dit dans Sharh As-Sudûr : "Al-Hâfidh Ibn Hajar dit dans ses Fatâwâ que les âmes des croyants résident dans le Paradis-ʿIlliyyûn tandis que celles des infidèles résident dans l’Enfer-Sijjîn. Chaque âme est liée à son corps par un lien immatériel qui ne ressemble pas au lien qui existe entre eux dans la vie ici-bas mais plutôt comme leur lien pendant le sommeil, bien que ce lien soit encore plus fort que pendant le sommeil car les âmes ont la permission d’agir, et regagnent leur place dans ʿIlliyyûn ou dans Sijjîn quand bien même, dit-on, elles se trouveraient dans les vestibules des tombeaux. As-Suyûtî mentionne également la narration rapportée par Ibn ʿAsâkir concernant le fait que le Prophète vit Jaʿfar Ibn Abî Tâlib après son martyr, ainsi que la narration rapportée par Al-Hâkim où le Prophète retourna les salutations à Jaʿfar pendant qu’il était assis avec Asmâ’ Bint ʿUmays lorsqu’il le vit en compagnie de Gabriel et de Michaël. Ceux-ci saluèrent le Prophète — paix et bénédictions sur lui — et lui relatèrent ce qui arriva le jour de son martyr, récit que le Prophète divulga aux gens du haut de sa chaire.
L’auteur d’Al-Minhah Al-Wahbiyyah [9] rapporta plusieurs récits où certaines personnes virent des morts accomplir la prière dans leurs tombes ; certains entendirent la récitation du Coran provenant de la tombe de Thâbit Al-Bannânî. D’autres encore entendirent la sourate Al-Mulk provenant d’une tombe. Lorsque le Prophète — paix et bénédictions sur lui — en fut informé, il répondit : « C’est la Protectrice, c’est la Salvatrice, elle sauve des supplices de la tombe ». Ce hadith a été rapporté par At-Tirmidhî selon Ibn ʿAbbâs et a été jug singulier (gharîb), c’est-à-dire qu’il provient d’un unique narrateur.
Il est établi dans les deux Sahîh que le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « Si vous ne vous enterriez pas mutuellement, j’aurais imploré Allâh de vous faire entendre une part de ce que j’entends des supplices de la tombe. » Il est également établi de manière authentique que le Prophète — paix et bénédictions sur lui — passa près de deux tombes dont les occupants étaient suppliciés car ils médisaient et ne se purifiaient pas de l’urine. Le Prophète couvrit leur tombe de feuilles de palmiers dans l’espoir qu’Allâh allège leur châtiment.
On lit dans Ar-Rûh d’Ibn Al-Qayyim, dans Sharh As-Sudûr d’As-Suyûtî et dans Ahwâl Al-Qubûr d’Ibn Rajab un récit dans lequel un homme vit un autre homme sortir de sous terre près de Badr, un troisième homme le frappant d’une massue jusqu’à ce qu’il l’enfonce sous terre. Le Prophète dit à ce sujet : "Tel est le châtiment de Abû Jahl jusqu’au Jour de la Résurrection."
Bref, tout ce qui précède à propos de la vie dans les tombes découle des questions de la wasîlah et du tawassul et en constitue des ramifications. Nous n’imposons à personne d’y souscrire sauf s’il s’agit de choses établies par des voies solides. Il est inutile de polémiquer à ce sujet. Les choses solidement établies sont en effet nombreuses et les états de la vie ici-bas, par laquelle nous nous préparons pour l’au-delà, sont nombreux. Attachons-nous donc à les connaître et à les appliquer car cela est meilleur et plus profitable.
Le mort entend-il ou est-il conscient de ce qui se passe autour de lui pendant son enterrement ? On rapporte dans Mashâriq Al-Anwâr d’Al-ʿAdawî, page 21, que le mort reconnaît celui qui le lave, celui qui le porte et celui qui l’allonge dans son trou, que l’âme du défunt se tient dans la main de l’ange et voit comment sa dépouille est lavée et comment elle est enveloppée dans son linceul et qu’on lui dit — alors qu’il est sur son lit : “Écoute les gens faire ton éloge.” On y rapporte également que le défunt voit ce que font les siens et que, s’il pouvait parler, il leur interdirait de pleurer et de crier. Tout ceci figure dans des hadîths rapportés par Ahmad, Ibn Abî Ad-Dunyâ, At-Tabarânî, Ibn Mandah, Abû Nuʿaym et Abû Dâwûd, certaines de ces narrations étant frappées de faiblesse. Or, il est connu que les croyances ne se fondent que sur les preuves catégoriques du Coran et de la Sunnah. Les états des morts font partie de l’Inconnu que Seul Allâh connaît et auquel personne n’accède sauf ceux qu’Il agrée et nous ne sommes tenus de souscrire qu’aux choses provenant de voies authentiques. Les récits relatant que le mort entend ceux qui l’accompagnent à sa tombe n’atteignent pas ce degré. Nous ne pouvons donc nier ce fait ni l’affirmer de manière catégorique, dans la mesure où cela demeure possible et qu’aucune référence ne l’interdit explicitement, et dans la mesure où ce qui y est affirmé ne l’est pas de manière catégorique. Libre à chacun d’y croire s’il le veut, mais qu’il n’impose pas son opinion à autrui, et celui qui le nie ne se rend pas coupable d’acte d’infidélité non plus.
Traduit de l’arabe de l’Encyclopédie de Fatwâ d’Al-Azhar.
[1] Sourate 30, les Romains, Ar-Rûm, verset 52.
[2] Sourate 35, le Créateur, Fâtir, verset 22.
[3] Sourate 30, les Romains, Ar-Rûm, verset 53.
[4] Sourate 16, les Abeilles, An-Nahl, verset 14.
[5] En arabe, le terme lahm désigne avant tout la viande, mais il admet aussi le sens plus général de "chair". NdT.
[6] Les choses nécessairement connues sont les choses que nul ne peut ignorer. NdT.
[7] Abû Bakr, le père de ʿÂ’ishah, et le Prophète, son mari, sont en effet enterrés dans l’appartement de celle-ci. NdT.
[8] ʿUmar est également enterré chez ʿÂ’ishah, aux côtés de ses deux compagnons, Abû Bakr et le Prophète — paix et bénédictions sur lui —. NdT.
[9] Il s’agit du Sheikh Dâwûd Ibn Sulaymân An-Naqshabandî Al-Baghdâdî, décédé en 1882 E.C. NdT.
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